où ça ? où ça ?
Pour le savoir : ---> Annonce des Croqueurs de Mots : Défi N°290 | ~ En toute simplicité ~ ... (wordpress.com)
<--- avec cette drôle d'image inquiétante ...
Je me demande si je préfère pas affronter les vagues de haute mer ...
Chaque jour je n'oublie pas Anne-Sophie et ses compagnes d'infortune
145 en 2010 ; 122 en 2011 ; 148 en 2012 ; 121 en 2013 ; 118 en 2014 ; 122 en 2015, 123 en 2016, encore 123 en 2017, 121 en 2018 ? 101 femmes depuis le 1e janvier 2019 en France (2 septembre 2019) , soit une femme tous les deux jours ! accélération ou meilleure visibilité ?
(clic sur le lien pour comprendre ... un peu)
où ça ? où ça ?
Pour le savoir : ---> Annonce des Croqueurs de Mots : Défi N°290 | ~ En toute simplicité ~ ... (wordpress.com)
<--- avec cette drôle d'image inquiétante ...
Je me demande si je préfère pas affronter les vagues de haute mer ...
En fait j'ai deux textes, le premier mêlant mes mots et ceux déposés en commentaires ici :
24 heures photo 2024 - 01 : mes vœux de lumière - jeannefadosi (overblog.com)
C'est à la suite de ces commentaires que, déposé début février, j'avais trouvé celui-ci :
Françoise la V.M 04/02/2024 10:52
Je n'ai jamais vu des akènes de clématite. C'est beau !
Ta photo pourrait être proposée aux plumes de l'Herbier ..... Non ?
Le deuxième, un premier jet (copieusement raturé et modifié depuis) avant d'avoir cette envie de tresser mes mots et ceux des commentaires.
***
C'était le dimanche du dernier jour de l'année. J'étais allée à pied chercher le pain, profitant du soleil, surprise par le vent glacé, ravie par les couleurs du paysage que la lumière oblique d'hiver sublimait même à midi.
Panne d'inspiration ...Que serait l'année nouvelle ?Quels vœux formuler ?
Je venais de trouver l'image qui accompagnerait et peut-être porterait des mots réconfort que je peinais à convoquer entre un adieu à une année horribilis et un salut craintif à la nouvelle pleine de nuages sombres.
Des mots pansementshors des guerres et des conflits ?Des vœux de lumière ?
"Oui Jeanne, si précieuse, qu'importe cette vie, humaine, faune, flore...." (Jill) ; "La vie est précieuse et courte. Nous ferions mieux de tous le comprendre plutôt que de nous déchirer pour un oui ou pour un non! Laissons place à la douceur" (Marie-Paule)
"Petits moulins blancstournez, tournezsaisons et annéessans abîmerTerre, mer et continents !" (ABC)
"Une tendresse particulière pour ces fruits de la clématite. Même sur le balcon, notre clématite horticole, fait aussi ce genre de touffes. Et dans la forêt le long du Rhin, la clématite fait de véritables lianes." (Yannn)
"Je pense hélas Jeanneque tu prêches des converties !La nature n'a que fairedes guerres et des conflits,elle poursuit son bonhomme de chemin.Que j'aime ces akènes de clématite..." (Cathyrose)
Il est un pays superbe, un pays de Cocagne, dit-on, que je rêve de visiter avec une vieille amie.
Un vrai pays de Cocagne, où tout est beau, riche, tranquille, honnête ; où le luxe a plaisir à se mirer dans l’ordre ; où la vie est grasse et douce à respirer ; d’où le désordre, la turbulence et l’imprévu sont exclus ; où le bonheur est marié au silence ; où la cuisine elle-même est poétique, grasse et excitante à la fois ; où tout vous ressemble, mon cher ange.
Oui, c’est là qu’il faut aller respirer, rêver et allonger les heures par l’infini des sensations.
Oui, c’est dans cette atmosphère qu’il ferait bon vivre, — là-bas, où les heures plus lentes contiennent plus de pensées, où les horloges sonnent le bonheur avec une plus profonde et plus significative solennité.
Je souhaitais me rendre à Siorapaluk, six maisons, un des dix hameaux de la région où vivaient 302 Inughuits [Inuits du Nord]. Je les ai rejoints le 3 août.
"Mon équipement était succinct : pas de vivres, pas d’équipement polaire, un matériel scientifique sommaire et un poste radio pour courtes distances, de 100 à 200 kilomètres, destiné à mes communications d’études climatologiques. Ma base d’hivernage était une modeste demeure de 12 mètres carrés avec un lit en planches et une table, bricolés avec Ululik, mon voisin.
"L'impossible,
nous ne l'atteignons pas.
mais il nous sert de lanterne."
René Char
(L'âge cassant, 1965)
repris dans Recherche de la base et du sommet, 1971
Martin Luther King, I have a dream, 28 août 1963 |
illustration proposée par Josette Musée d’Art Naïf https://www.musee-vicq.fr/ |
Nighthawks, par Edward Hopper, 1942 |
J'ai découvert ses mots quand il était près de midi et je lui ai demandé un délai par cette réponse :Zaza, dimanche 18 févr. 2024 09:29Coucou Jeanne, G est d’accord pour supprimer [ce qui faisait question] et voici son billet remanié .Je te laisse seule juge pour la parution de ce billet, et si tu ne le fais pas ce n’est pas bien grave.J’espère que tout va bien pour toi, surtout sur le plan de la santé, ce qui est le principal n’est-ce-pas !
J'ai survolé : il est déjà 11h et demi et il faut absolument que je quitte ce clavier chronophage.
Je m'en occupe si ce n'est demain pour ne pas interférer avec d'autres parutions, mardi ou mercredioui je vais bien et je suis loin des tourments de ce monde. La santé est importante, j'espère que c'est ton cas aussi.Tristesse pour Domi.
« L'avenirPour parler de l'avenir revenons un peu dans le passé.J'ai bientôt 60 balais, je n'ai pas à me plaindre, pas toujours facile la vie, mais au final, j'ai évité les écueils. Je n'étais pas très fortuné, mais pas pauvre non plus. Je me suis offert des petits plaisirs, voyages, sorties, voitures...Oui, mais voilà !!!Depuis quelques années, j'ai l'impression que le monde se liquéfie sous mes pieds, le monde mais surtout mon pays la France. Je ne la reconnais plus, je ne comprends plus les Français. Où est-ce une colère larvée qui m'habite ? Et qui me fait perdre la raison ? Un sentiment d'injustice très fort. Une peur bleue de ce que nous allons devenir.[ ... ]Et rien, sagement, nous regardons, il y en a même qui acquiescent, qui en redemandent.Je me souviens du temps où nous étions bien plus optimistes, pour ne pas dire heureux, car la misère existait aussi pour beaucoup.
[ ... ]
Ok, le pays doit affronter un monde nouveau, mais là, franchement, vous y croyez ? Alors qu'une élite se goinfre à outrance.
[ ... ]J'ai peur, oui, je l'avoue, j'ai très, très, peur. Tellement peur que je suis aux aguets, dans les starting-blocks...[ ... ]Rassurez-moi. »